• Le Mécène CaféSi vous vous baladez du côté de Réaumur Sébastopol, allez faire un tour au Mécène, vous ne le regretterez pas !
    C'est un bar juste assez grand pour être cool et convivial. Les deux patrons sont adorables, ils aiment faire la fête et ça se voit ! D'après la légende, ils en auraient eu marre d'organiser des fiestas chez eux, parce que bon c'est pas très pratique. Et quitte à festoyer tous les soirs, autant avoir le matos. Alors ils ont créé ce bar tout bien comme il faut.
    Vous pouvez vous poser sur les canapés (je veux le même chez moi, plus tard) et les tabourets noirs et blancs. Admirez aussi les tableaux accrochés aux murs, parce que ce n'est pas qu'un bar, c'est aussi un lieu d'expression de l'art Art.
    La playlist est très sympa aussi. Il y a un peu de tout mais j'avoue que j'ai craqué quand j'ai entendu Jai Ho (bande son de Slumdog Millionnaire) et les Beatles.
    Et j'ai complètement fondu (c'était pas beau à voir) devant l'offre irrésistible : l'open bar bulles.
    Plus d'infos sur leur site (qu'ils ont d'ailleurs de très esthétique).
     

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  • web 3.0Un billet de novactif m'a quelque peu éclairée sur le web 3.0. Cette notion assez abstraite qui en jette mais qui au final ne veut pas dire grand chose s'est dotée d'un peu de sens après cette lecture.
    En gros si je comprends bien, le 2.0 c'était le début du social, et il a permis l'émergence des communautés online. Et le 3.0 c'est pareil sauf qu'au lieu de se servir des données liées aux communautés, il pourrait s'adapter aux habitudes de chacun, pour fournir un résultat hypra personnalisé et ciblé
    .
    Bon ok, jusque là pas de révélation, pas d'idée géniale qui casse la baraque...

    Et je me demande même où est l'utilité d'aller aussi loin dans le ciblage. Comme on dit chez les Choco-Suis', tu pousses le bouchon un peu trop loin Maurice ! (eh oui c'est pas Danette).

    Je vois plusieurs points faibles à cette démarche :

    1. Les gens vont se sentir fliquer, et les gens aiment pas se sentir fliquer. Oui bien sûr on a déjà des données sur leurs parcours sur le web, les sites qu'ils visitent, mais ça ils ne le savent pas ! Et s'ils s'en doutent, c'est moins grave que de découvrir qu'un site sur lequel tu n'es jamais allé dispose de façon évidente de certaines informations sur toi.

    2. On dévéloppe rarement pour le plaisir, alors quel intérêt pécuniaire derrière tout ça ? Aucun selon moi. Si les marketeurs aiment cibler leurs clients et prospects, je ne vois pas ce qu'ils feraient de leur carte d'identité numérique. A part le luxe, personne ne fait du sur-mesure, c'est trop cher. Alors de toute façon, avec tous ces parcours individuels, ils finiront par faire des groupes ciblés et priorisés, un peu comme ils font maintenant quoi.

    3. Ce système suppose une sorte de méta-réseau social, qui regrouperait tous les Facebook et compagnie sous une même identité numérique. Pour que ça marche, il faut que ça corresponde à une demande ou à un besoin de la part des internautes. Et c'est là que ça coince. Ben oui, nous sommes tous un peu schizophrènes il faut l'avouer : nous avons différents répertoires et utilisons différents codes selon la situation sociale dans laquelle nous nous trouvons. En clair on ne parle pas, on ne bouge pas, on ne s'habille pas de la même façon devant tata Jeannette et devant Bébère le pote de galère. Sur internet, l'erreur est de penser qu'il n'y a qu'une situation sociale peu importe où on surfe. MAIS NON PAS DU TOUT ! Pourquoi la croissance de réseaux comme LinkedIn n'a pas cannibalisé celle de Facebook et inversement ? Parce que ce sont deux situations sociales différentes, qui exigent deux identités distinctes. On n'a pas vraiment envie que nos employeurs soient témoins de nos exploits alcoolisés, et voilà.
    Comme dans la vie, on fait une séparation entre ces deux univers, ce qui me semble incompatible avec une identité numérique unique.

    4. J'ai pas de 4 mais de toute façon 3 c'est mon chiffre préféré.

    En clair, j'ai mieux compris ce qu'était le web 3.0, et je suis toujours pas convaincue.


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  • Vous connaissez les captchas, ces mots illisibles qu'on vous demande de recopier dès que vous voulez ajouter un ami sur Facebook ou poster un commentaire sur un blog ?
    Figurez-vous qu'en créant un compte Facebook, je suis tombée sur un captcha pour le moins perturbant :
     

    Facebook est pro-Clinton


    Entre les Social Ads pour Obama et les messages subliminaux de ce type pour Clinton, je me demande si Facebook n'est pas un peu "politically biased"... 

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  • Aujourd'hui je vous présente une trouvaille du web, qui a attiré l'attention des flasheurs de mon agence, aka Nurun.
    A quoi ça ressemble ? Have a look :

     

    Des T-shirts qui flashent


     


    C'est un site tout en flash, apparemment un cadeau de l'agence Grow Interactive à ses clients. Ils sont plutôt cools chez Grow Interactive, moi aussi j'aimerais bien un t-shirt American Apparel !
    En tout cas il vaut vraiment le détour par sa créativité. Si vous aussi vous voulez voir la copine d'Eric gribouiller votre écran dans un T-shirt jaune soleil (oui vous en rêviez je le sais), cliquez là.

    Et n'oubliez pas, "Thank You begins with a T" (phrase obscure dont je ne saisis pas toute la poésie, bien malgré moi...).

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  • Hier j'ai testé pour vous le match d'impro et Les Disquaires, et je ne peux que vous encourager à tester les deux !

    Le match d'impro
    Un match d''impro (improvisation théâtrale), quoi t'est-ce ?
    Deux équipes composées chacune de 7 personnes (3 joueurs, 3 joueuses et un coach) s'affrontent dans une tenue réglementaire (à savoir pantalon de sport noir ou jogging noir et le maillot de leur équipe). Le match est présenté et animé par un maître de cérémonie . Des musiciens chauffent la salle quand le staff ou les équipes se concertent. Ils permettent de remplir les temps morts et motivent le public et les joueurs. Un arbitre et deux arbitres assistants se chargent de faire respecter les règles et de comptabiliser les scores. Ils sont habillés tels les tenues d'arbitres et d'arbitres assistants de hockey.
    L’arbitre tire au hasard les thèmes (inconnus des joueurs) et indique la forme que l’improvisation (l'impro) prendra en faisant varier plusieurs éléments :
    • la nature : mixte ou comparée : une improvisation mixte permet aux deux équipes de jouer ensemble alors qu’une improvisation comparée voit les deux équipes se succéder.
    • le titre : il s’agit le plus généralement d’un mot ou d’une courte phrase.
    • le nombre de joueurs : il peut être libre ou bien imposé par le carton.
    • la catégorie : elle peut être libre ou encore dictée par le carton parmi un large panel de possibilités (à la manière de Molière, chanté, en rimes, avec accessoire, etc.)
    • la durée : elle varie généralement de 30 secondes à 8 minutes, mais peut aller jusqu'à 20 minutes.

    Un petit exemple d'hier : improvisation comparée (chaque équipe fait une impro tour à tour), titre : "la question à laquelle personne n'a la réponse", 1 joueur par équipe, catégorie stand up, 2 minutes.

    À la fin de la lecture du carton, les équipes ont 20 secondes pour se « coacher. » 
    À la fin de chaque improvisation, le public vote avec un carton de couleur associé à chaque équipe pour la meilleure prestation. Un point est accordé à celle qui remporte l’improvisation.
    À tout moment, le public peut manifester son mécontentement ou son ennui en jetant un chausson. Alors on peut se faire plaisir en visant les arbitres, hués à chaque fois qu'ils entrent en scène ou qu'ils signalent une faute d'une équipe.

    Les fautes, parlons-en ! Alors j'ai pas tout compris (oui c'est assez complexe), voici ce qui nous est distribué à l'entrée (avec le super chausson défoulatoire), qui sert de carton de vote et de présentation des règles :
     

    Un match d'impro + Les Disquaires


     

    Si vous voulez plus d'infos sur l'impro théâtrale, consultez notre Maître à tous, j'ai nommé ô grand Wikipedia.
    Et pour vous tenir au courant des prochains matchs de Paris, n'hésitez pas à vous rendre sur leur site.
    C'est pas cher (8€ tarif étudiant et 12€ pour les autres), et vous passerez une super bonne soirée ! 

    Les Disquaires
    Après ce petit match fort sympathique ma fois, nous sommes allez étanchez notre soif de découverte et de bière dans un bar du côté de Bastille. Samedi soir, bondé, chaud, bonne musique, et pour les filles : le meilleur repaire de bô gosses jamais testé (si si). Bref la musique est sympa, un peu old school (parfait pour les vieux comme moi), l'entrée est gratuite (non négligeable) et le demi de bière à 4€ (ok là ils se font plaiz mais on est tolérant). Si on veut se défouler sur le dancefloor, lâchez vos gros manteaux au vestiaire (pas testé), et trémoussez-vous au milieu de tous ces jeunes gens beaux et lookés (mais pas fashion victim quand même).
    Comme je suis gentille, je vous file l'adresse :
    6 rue des Taillandiers, M° Bastille ou Ledru-Rollin (11e)
    Et pour plus d'infos, rendez-vous sur leur Myspace.

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